Florence au grand siècle
Date de publication : 01/06/2011
Nombre de pages : 299
Editeur : Ajaccio, Palais Fesch-musée des Beaux-Arts ; Milan, Silvana Editoriale
Date de publication : 01/06/2011
Nombre de pages : 299
Editeur : Ajaccio, Palais Fesch-musée des Beaux-Arts ; Milan, Silvana Editoriale
Le catalogue accompagne une exposition qui présente, pour la première fois en France, le XVIIe siècle florentin. Un siècle encore peu connu hors d’Italie, où, dans le domaine des arts, Florence rime avant tout avant avec Renaissance.
Le fil conducteur de l’ouvrage est la question des rapports entre peinture et littérature. Quelque soixante oeuvres (des peintures, mais aussi des dessins, des gravures et un petit bronze) illustrent ces rapports qui sont proprement la marque de l’art florentin du XVIIe siècle.
De Matteo Rosselli à Giovanni Bilivert, de Jacopo Vignali à Francesco Furini et Lorenzo Lippi, de l’Empoli à Cecco Bravo, de Giovanni Martinelli et Simone Pignoni à Felice Ficherelli et Carlo Dolci, au fil des pages il est possible d’explorer les différentes tendances picturales, parfois profondément divergentes entre elles, du Seicento fiorentino.
L’ouvrage illustre la fortune en peinture des plus grands chefs d’oeuvres de la littérature italienne: la Divine Comédie de Dante et le Décaméron de Boccace; le Roland furieux de l’Arioste et la Jérusalem du Tasse: dans l’un des chapitres sera reconstitués un cadre emblématique de collectionnisme dans la Florence du XVIIe siècle, ou des sujets inspirés des poèmes de l’Arioste et du Tasse voisiné avec d’autres tirés des Métamorphoses d’Ovide et de l’ancien testament.
Il est question aussi de figure allégorique des arts (la peinture, la sculpture, l’architecture, la poésie, la musique, la comédie, etc., typique de l’école florentine dans leur cadrage à mi-corps), auxquelles les peintres florentins, qui furent, souvent, également poètes et homme de théâtre, confièrent leur pensée critique sur les arts mêmes.
Le fil conducteur de l’ouvrage est la question des rapports entre peinture et littérature. Quelque soixante oeuvres (des peintures, mais aussi des dessins, des gravures et un petit bronze) illustrent ces rapports qui sont proprement la marque de l’art florentin du XVIIe siècle.
De Matteo Rosselli à Giovanni Bilivert, de Jacopo Vignali à Francesco Furini et Lorenzo Lippi, de l’Empoli à Cecco Bravo, de Giovanni Martinelli et Simone Pignoni à Felice Ficherelli et Carlo Dolci, au fil des pages il est possible d’explorer les différentes tendances picturales, parfois profondément divergentes entre elles, du Seicento fiorentino.
L’ouvrage illustre la fortune en peinture des plus grands chefs d’oeuvres de la littérature italienne: la Divine Comédie de Dante et le Décaméron de Boccace; le Roland furieux de l’Arioste et la Jérusalem du Tasse: dans l’un des chapitres sera reconstitués un cadre emblématique de collectionnisme dans la Florence du XVIIe siècle, ou des sujets inspirés des poèmes de l’Arioste et du Tasse voisiné avec d’autres tirés des Métamorphoses d’Ovide et de l’ancien testament.
Il est question aussi de figure allégorique des arts (la peinture, la sculpture, l’architecture, la poésie, la musique, la comédie, etc., typique de l’école florentine dans leur cadrage à mi-corps), auxquelles les peintres florentins, qui furent, souvent, également poètes et homme de théâtre, confièrent leur pensée critique sur les arts mêmes.