TITIEN, l’étrange homme au gant
Date de publication : 26/06/2010
Nombre de pages : 135
Editeur : Ajaccio, Palais Fesch-musée des Beaux-Arts ; Milan, Silvana Editoriale
Date de publication : 26/06/2010
Nombre de pages : 135
Editeur : Ajaccio, Palais Fesch-musée des Beaux-Arts ; Milan, Silvana Editoriale
Le Palais Fesch-musée des Beaux-Arts présente pour la première fois une exposition-dossier. C’est à l’occasion de la restauration du portrait de L’homme au gant de Titien, qu’il inaugure cette nouvelle facette de ses activités.
Issu des collections de Louis XIV, ce chef-d’œuvre, attribué au peintre vénitien, a été déposé par le musée du Louvre au musée des Beaux-Arts en 1956.
Sur cette attribution à Titien, avaient été émis quelques doutes. La nécessité d’une restauration et d’une étude, a conduit la toile au Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France (C2RMF). Les radiographies, rayons X, infrarouges, ultraviolets, ainsi que l’étude approfondie de Paul Joannides, professeur à l’université de Cambridge et plus grand spécialiste de la jeunesse de Titien, permettent d’affirmer avec certitude que ce tableau est bien de la main du maître vénitien.
Son retour sur les cimaises du Palais Fesch est un événement qui méritait d’être souligné en l’entourant de quelques autres portraits d’ « hommes en noir » de l’artiste.
Issu des collections de Louis XIV, ce chef-d’œuvre, attribué au peintre vénitien, a été déposé par le musée du Louvre au musée des Beaux-Arts en 1956.
Sur cette attribution à Titien, avaient été émis quelques doutes. La nécessité d’une restauration et d’une étude, a conduit la toile au Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France (C2RMF). Les radiographies, rayons X, infrarouges, ultraviolets, ainsi que l’étude approfondie de Paul Joannides, professeur à l’université de Cambridge et plus grand spécialiste de la jeunesse de Titien, permettent d’affirmer avec certitude que ce tableau est bien de la main du maître vénitien.
Son retour sur les cimaises du Palais Fesch est un événement qui méritait d’être souligné en l’entourant de quelques autres portraits d’ « hommes en noir » de l’artiste.